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EUROPE
Les crises ont ressoudé l'Union européenne
Dans la tourmente financière comme face à la Russie, l'Europe a saisi sa chance et c'est une Union renforcée que Nicolas Sarkozy retrouve mercredi à Bruxelles pour le sommet européen.
http://www.lefigaro.fr/international/2008/10/15/01003-20081015ARTFIG00287-les-crises-ont-ressoude-l-union-europeenne-.php
Le gouvernement économique de l'euro naît de la crise
Sommet infranchissable il y a quelques mois à peine, le gouvernement économique de l'euro est né dimanche grâce à la crise financière, qui a obligé les dirigeants européens à remiser leurs susceptibilités au placard.
http://fr.news.yahoo.com/rtrs/20081013/tts-crise-europe-avenir-ca02f96.html
Le plan européen muselle les oppositions dans l'UE
Le premier ministre britannique, Gordon Brown, vient de réaliser un spectaculaire redressement politique.
http://www.lefigaro.fr/international/2008/10/15/01003-20081015ARTFIG00027-le-plan-europeen-muselle-les-oppositions-dans-l-ue-.php
Nicolas Sarkozy veut diriger la zone euro jusqu'en 2010
D'une pierre deux coups. Nicolas Sarkozy veut profiter de la crise financière pour imposer sa vision économique de l'Europe et continuer à présider l'Union européenne (UE) au niveau de la zone euro, au moins pour une année supplémentaire.
http://www.lemonde.fr/la-crise-financiere/article/2008/10/22/nicolas-sarkozy-veut-diriger-la-zone-euro-jusqu-en-2010_1109655_1101386.html
Notre analyse : La crise semble avoir relégitimé l'Union Européenne et fortifié l'Eurogroupe. Si l'on ne peut que s'en féliciter, il ne faut pas non plus cesser de réclamer plus de contrôle des citoyens et plus de pouvoir pour les institutions de l'UE: la Commission (qui s'est ici faite court-circuiter) et surtout le Parlement qui représente tous les Européens. La critique de la présidentialisation du régime en France doit aussi s'appliquer au niveau européen. Les choses devraient changer avec le traité de Lisbonne et la campagne pour les élections européennes.
Dans la tourmente financière comme face à la Russie, l'Europe a saisi sa chance et c'est une Union renforcée que Nicolas Sarkozy retrouve mercredi à Bruxelles pour le sommet européen.
http://www.lefigaro.fr/international/2008/10/15/01003-20081015ARTFIG00287-les-crises-ont-ressoude-l-union-europeenne-.php
Le gouvernement économique de l'euro naît de la crise
Sommet infranchissable il y a quelques mois à peine, le gouvernement économique de l'euro est né dimanche grâce à la crise financière, qui a obligé les dirigeants européens à remiser leurs susceptibilités au placard.
http://fr.news.yahoo.com/rtrs/20081013/tts-crise-europe-avenir-ca02f96.html
Le plan européen muselle les oppositions dans l'UE
Le premier ministre britannique, Gordon Brown, vient de réaliser un spectaculaire redressement politique.
http://www.lefigaro.fr/international/2008/10/15/01003-20081015ARTFIG00027-le-plan-europeen-muselle-les-oppositions-dans-l-ue-.php
Nicolas Sarkozy veut diriger la zone euro jusqu'en 2010
D'une pierre deux coups. Nicolas Sarkozy veut profiter de la crise financière pour imposer sa vision économique de l'Europe et continuer à présider l'Union européenne (UE) au niveau de la zone euro, au moins pour une année supplémentaire.
http://www.lemonde.fr/la-crise-financiere/article/2008/10/22/nicolas-sarkozy-veut-diriger-la-zone-euro-jusqu-en-2010_1109655_1101386.html
Notre analyse : La crise semble avoir relégitimé l'Union Européenne et fortifié l'Eurogroupe. Si l'on ne peut que s'en féliciter, il ne faut pas non plus cesser de réclamer plus de contrôle des citoyens et plus de pouvoir pour les institutions de l'UE: la Commission (qui s'est ici faite court-circuiter) et surtout le Parlement qui représente tous les Européens. La critique de la présidentialisation du régime en France doit aussi s'appliquer au niveau européen. Les choses devraient changer avec le traité de Lisbonne et la campagne pour les élections européennes.
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Sur le stand de la ville d'Hérouville Le discours de Rodolphe Thomas
La signature de la convention entre la ville d'Hérouville et Kéolis qui apportera 25 emplois au Hérouvillais dans les 4 ans à venir
> Lire l'article de Ouest-France
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L’emploi reste une préoccupation majeure pour beaucoup de Normands, notre région n’ayant pas été épargnée ces dernières années par de nombreux plans sociaux et fermetures d’entreprises. Malheureusement, l’actualité nous rappelle régulièrement la fragilité de notre tissu économique local et ainsi l’impérieuse nécessité d’innover et d’inventer afin de créer les emplois de demain. Pour notre région, nous sommes tous pleins d’espoirs et d’ambitions.
Si nous voulons attirer des investisseurs et susciter la création d’entreprises, donc d’emplois et de richesses pour notre région, c’est à nous, responsables politiques, de créer, susciter et accompagner les conditions du développement économique. L’esprit conquérant, qui a marqué notre Histoire commune, n’est pas perdu. Il est en chacun d’entre nous ; à nous de le réveiller.
En matière de politique pour l’emploi, je sais par expérience qu’il n’existe pas de fatalité. Si nous échouons, c’est que nous avons décidé de baisser les bras, et de cela il n’en est pas question. Une idée toute simple peut souvent être le détonateur et le commencement d’une belle aventure. Ainsi en est-il pour le « Parcours pour l’emploi » d’Hérouville-Saint-Clair dont la 4ème édition se déroulera le 16 et 17 octobre prochain à la salle de la Fonderie.
Ce rendez-vous est devenu une référence unique dans la région. Si pour vous, trouver ou retrouver un emploi s’apparente à un véritable « parcours du combattant », durant ces deux journées, vous pourrez concrètement avancer dans vos recherches.
Si nous voulons attirer des investisseurs et susciter la création d’entreprises, donc d’emplois et de richesses pour notre région, c’est à nous, responsables politiques, de créer, susciter et accompagner les conditions du développement économique. L’esprit conquérant, qui a marqué notre Histoire commune, n’est pas perdu. Il est en chacun d’entre nous ; à nous de le réveiller.
En matière de politique pour l’emploi, je sais par expérience qu’il n’existe pas de fatalité. Si nous échouons, c’est que nous avons décidé de baisser les bras, et de cela il n’en est pas question. Une idée toute simple peut souvent être le détonateur et le commencement d’une belle aventure. Ainsi en est-il pour le « Parcours pour l’emploi » d’Hérouville-Saint-Clair dont la 4ème édition se déroulera le 16 et 17 octobre prochain à la salle de la Fonderie.
Ce rendez-vous est devenu une référence unique dans la région. Si pour vous, trouver ou retrouver un emploi s’apparente à un véritable « parcours du combattant », durant ces deux journées, vous pourrez concrètement avancer dans vos recherches.
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Rencontre politique sur la culture au Centre des congrès de Caen - La place de la culture aujourd’hui, par François Arnaud de la Direction Régionale des Affaires Culturelles.
La culture, considérée comme un système d'échanges, dans lequel seul ce qui,se transmet et se maintient sur une longue durée peut prétendre au statut d'objet culturel (Arendt), est confrontée à la vitesse de circulation des biens et des personnes. La culture est ainsi au coeur des transformations radicales du paysage planétaire, qui doit faire face aux dégradations sociales (paupérisation, discrimination, déstructuration des territoires) et écologiques (privatisation des biens communs, déséquilibres climatiques).
En France, la naissance de la politique culturelle remonte à François I er, (les commandes d’œuvres d’artistes italiens, et la création du collège de France en 1530, ainsi que l'affirmation du français comme langue officielle du royaume).
La fondation par Richelieu de l’académie Française en 1635, a prolongé l’expansion culturelle française. Les idées des philosophes des Lumières qui considéraient la culture comme un bien universel ont été mises en oeuvre à partir de la Révolution Française : institutions culturelles, Louvre, bibliothèque, début de la politique patrimoniale.
C’est dans la deuxième moitié du XX e siècle que la politique culturelle française a connu son plein essor. André Malraux fut le premier ministre de la culture nommé en 1959, il a œuvré, ainsi que ses successeurs jusque dans les années 1990 en faveur des arts et de la culture (cinéma, musées, musique, théâtre…).
Autrefois réservée à une élite, la culture s’est démocratisée, mais aussi massifiée avec l'apparition des industries culturelles, qui privilégient plus l'industrie que la culture.
En France, aujourd’hui, la politique culturelle a néanmoins permis d'élargir le ''cercle des connaisseurs'' (Brecht), et a mené des combats pour la sauvegarde de notre patrimoine (langue française, mise en place de quotas pour la diffusion de séries américaines, prix unique du livre)
La fondation par Richelieu de l’académie Française en 1635, a prolongé l’expansion culturelle française. Les idées des philosophes des Lumières qui considéraient la culture comme un bien universel ont été mises en oeuvre à partir de la Révolution Française : institutions culturelles, Louvre, bibliothèque, début de la politique patrimoniale.
C’est dans la deuxième moitié du XX e siècle que la politique culturelle française a connu son plein essor. André Malraux fut le premier ministre de la culture nommé en 1959, il a œuvré, ainsi que ses successeurs jusque dans les années 1990 en faveur des arts et de la culture (cinéma, musées, musique, théâtre…).
Autrefois réservée à une élite, la culture s’est démocratisée, mais aussi massifiée avec l'apparition des industries culturelles, qui privilégient plus l'industrie que la culture.
En France, aujourd’hui, la politique culturelle a néanmoins permis d'élargir le ''cercle des connaisseurs'' (Brecht), et a mené des combats pour la sauvegarde de notre patrimoine (langue française, mise en place de quotas pour la diffusion de séries américaines, prix unique du livre)
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En réponse à l'article de Ouest-France « Philippe Augier observe et attend »
Après avoir hérité sans difficulté de Deauville en 2001.
Après avoir mené dans une impasse l’UDF bas-normande lors des régionales de 2004 en réalisant le score le plus faible de France.
Après avoir abandonné son ami François BAYROU dans un moment crucial pour la famille centriste entre les deux tours de la présidentielle et le quittant sèchement.
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