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François Bayrou invité du journal télévisé de 13H00 sur France 2 le mardi 30 septembre, juste après la réunion sur la crise financière internationale à l'Elysée, a déclaré que "tant que l'on fera croire que c'est à Paris que pourraient se trouver les réponses à cette crise, on raconte des histoires, ce sont des balivernes.
http://jt.france2.fr/13h/ en choisissant le 13h du mardi 30 septembre.
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Le rejet du plan Paulson a fait plonger la Bourse de New York, qui a perdu 6,71 % en clôture, soit une perte jamais vue de près de 800 points. Les Bourses d'Asie-Pacifique ont subi à leur tour de lourdes pertes mardi. A la mi-séance, la Bourse de Tokyo plongeait de 4,64 % et celle de Sydney de 3,40 %. A l'ouverture, Hongkong dévissait de 5,59 % et Taïpeh de 6,16 %.
Après New York lundi soir et les places asiatiques mardi matin, le coup de froid gagne les Bourses européennes. A Paris, le CAC 40 a perdu 1,99 % à 3 874,80 points à l'ouverture. A Londres, le Footsie-100 a ouvert en baisse de 0,71 % à 4 784,53 points, à Francfort, le DAX a dévissé de 1,36 % a 5 728,30 points. Les deux Bourses de Moscou, le RTS et le Micex, ont suspendu les échanges dès l'ouverture mardi sur ordre du régulateur financier, ont indiqué leurs porte-parole respectifs.
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- des 4 vérités sur France 2 à 7h50
- sur un air de campagne » sur RFI à 12h
- Talk orange le figaro à 18h10.
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ON ME DISAIT : C'EST TROP FACILE DE CRITIQUER BIEN CALE DANS SON FAUTEUIL
Jean-François Kahn : J'ai définitivement tourné la page du journalisme. Mais je veux continuer à défendre les idées que, depuis trente-cinq ans, j'ai essayé de développer dans mes articles, mes livres et, tout simplement, la vie. Je ne passe à rien, je continue autrement.
Nous sommes confrontés à un chambardement comparable à la révolution industrielle du début du XIXème siècle qui, certes, ne rature pas les notions de droite ou de gauche, mais modifie complètement les critères de leur énonciation. Regardez : aux Etats-Unis, on nationalise deux grandes banques et ça fait grimper la Bourse. Le néolibéralisme parvient à ses plus spectaculaires résultats sous une dictature communiste. Jamais on a autant exacerbé les inégalités et les exclusions que ne l'a t'ait la gauche britannique de Tony Blair. Alors la gauche et la droite... Il faut tout recomposer. Si on peut y aider...
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Concernant le RSA, "si l'idée est maintenue et si elle est juste, je le voterai", a indiqué M. Bayrou sur RMC, regrettant qu'aujourd'hui "on s'approche beaucoup d'une usine à gaz" alors qu'"au départ c'était une idée toute simple".
"Le financement c'est autre chose. Je ne donnerai pas ma voix à un financement qui ciblerait les classes moyennes et exonèrerait les plus fortunés. C'est niet! Pour moi c'est quelque chose d'inacceptable", a-t-il lancé. "Naturellement, le PS a applaudi" au principe de taxer le capital "mais ce n'est pas parce que le PS applaudit que c'est juste", a ajouté le député des Pyrénées-Atlantiques.
Il a souligné que "les classes moyennes vont porter toute la charge" du financement alors que "les 300.000 foyers les plus fortunés du pays, eux, vont être mis à l'abri", grâce au bouclier fiscal. "Je ne comprends même pas ce qui, dans l'esprit du gouvernement, peut les amener à faire ça. Ils ne se rendent pas compte que c'est une terrible injustice", a conclu le leader centriste.
Opinion partagée par le député UMP du Morbihan François Goulard qui a déclaré lundi qu'il voterait pour le RSA mais contre "ses modalités de financement" qui "pénalisent les épargnants petits et moyens".
"Je voterai pour le RSA en tant que dispositif social" mais, "en l'état actuel des choses, je voterai contre ses modalités de financement parce qu'elles pénalisent les épargnants petits, moyens et ne touchent pas les épargnants les plus aisés" bénéficiant du bouclier fiscal, a déclaré M. Goulard sur France Info.
Il y a dans le mode de financement de cette mesure "une profonde anomalie, et puis moi je suis contre la hausse des impôts", a-t-il ajouté.
Selon M. Goulard, "c'est dans la réduction de la dépense publique qu'on doit chercher des solutions" pour financer le RSA.