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Selon OpinionWay, 44 % des Français estiment que le président du MoDem pourrait devancer le candidat socialiste au premier tour de la présidentielle de 2012.
C'EST le grand bond en avant de François Bayrou. Pour la première fois depuis l'élection présidentielle de 2007, le président du Mouvement démocrate (MoDem) se hisse en tête du palmarès des meilleurs opposants au chef de l'État (lire l'intégralité du sondage en PDF), avec 20 % des avis, loin, très loin devant Olivier Besancenot (10 %), Martine Aubry (9 %) et Ségolène Royal (6 %). Une seule fois, en mars 2008, François Bayrou avait failli décrocher le titre. Mais il était arrivé ex aequo avec le maire de Paris, Bertrand Delanoë, (13 % chacun).
Le plus significatif, par rapport à notre dernier baromètre des 8 et 9 avril, est la forte progression du président du MoDem, qui gagne 16 points, tandis que l'ancienne finaliste de 2007 en perd 8. Lui qui s'est présenté mercredi en « opposant le plus vigoureux » à Nicolas Sarkozy engrange dans l'opinion les fruits d'une stratégie élaborée dès le lendemain de la présidentielle.
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"Une nouvelle fois, il utilise la question sécuritaire à des fins électorales, à moins de deux mois des Européennes. Nous en sommes déjà à treize lois sur la sécurité depuis sept ans", a déclaré à l'AFP M. Bayrou lors d'un déplacement à Dijon où il accompagnait Jean-François Kahn, tête de liste (Grand Est) aux élections européennes.
"Il faut d'abord appliquer les lois en vigueur, donner plus de moyens pour les centres éducatifs fermés et les travaux d'intérêt général. Je constate aussi que les violences contre les personnes sont en augmentation", a ajouté le président du MoDem.
Interrogé sur les élections européennes, le député des Pyrénées-Atlantiques a considéré que son parti était le seul à être réellement entré en campagne.
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Directeur du Credoc depuis 1987, il en est le directeur général depuis 1995, il a auparavant travaillé au sein de la direction des statistiques de la Caisse nationale d'assurance maladie puis au Centre d'études et d'économie de la santé. Il a été maître de conférence à l'ÉNA. Il est membre depuis mars 2006 du Conseil d'analyse économiqueauprès du Premier ministre. Il est également membre de plusieurs comités et conseils dont le Conseil scientifique des statistiques du Haut Conseil à l'intégration et le Conseil d'éthique publicitaire du BVP et président de la formation Démographie, conditions de vie du Conseil national de l'information statistique.
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Corinne LEPAGE, vice-présidente du Mouvement Démocrate et Olivier HENNO, membre du bureau national exécutif, têtes de liste pour les élections européennes dans le Nord Ouest tiennent en premier lieu à témoigner leur total soutien aux employés du site et s'insurgent contre une décision aussi brutale alors que les salariés avaient consenti de nombreux efforts comme le retour aux 40 heures hebdomadaires ou l'acceptation de périodes de chômage partiel en échange de la sauvegarde de l'emploi.
Ils demandent à l'Etat d'agir avec la plus grande fermeté pour défendre l'emploi sur le site alors que le groupe a présenté des bénéfices pour sa branche pneumatiques en 2008.
Encore une fois, il faut constater que les stratégies de court-terme et de recherche du profit immédiat par les actionnaires ne permettent pas d'anticiper les mutations du marché et que les salariés constituent de simples variables d'ajustement.
Corinne LEPAGE et Olivier HENNO en appellent à la solidarité nationale pour soutenir le tissu économique des régions du Nord Ouest (Picardie, Nord-Pas de Calais, Normandie).
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AFFAIRES
Affaire Dray: quand le journalisme devient nauséabond
Depuis ce matin, tous les médias français reprennent le «scoop» de l'Est Républicain qui dévoile le rapport des enquêteurs de Bercy sur les comptes bancaires de Julien Dray. Sans évoquer un seul instant la façon dont le journaliste s'est procuré ces informations. Pourquoi? Parce que c'est sa vie privée. Et la vie privée de Julien Dray, alors?
Kouchner, ministre des factures étrangères
817 000 euros, c'est la somme qu'a réglé en 2008 le Gabon à une boîte de conseil pour laquelle a bossé Bernard Kouchner. La diplomatie française fait encore recette.
Le sénateur (div. d.) de Polynésie française, Gaston Flosse, 77 ans, est au coeur d'une tourmente judiciaire. Selon des documents que Le Monde a pu consulter, les enquêteurs s'interrogent sur le rôle qu'il a pu jouer dans la disparition, en décembre 1997, du journaliste Jean-Pascal Couraud, surnommé "JPK", opposant notoire de l'élu, dont le corps n'a jamais été retrouvé.