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Les militants du Modem 14 s’associent à Philippe LAILLER pour remercier Jean PEYRELEVADE de sa présence ce soir là.
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Aujourd’hui, Mme LE BRETHON parle d’un « très bon Directeur… qui n’a rien pris pour lui ! » et Monsieur DURON botte en touche en déclarant que « c’est une affaire qui concerne le Ministère de la santé ».
On peut tout de même s’interroger sur le rôle de contrôle de ces deux présidents successifs du Conseil d’Administration du CHU.
Comment ne pas avoir vu ces dérapages financiers d’une totale immoralité quand on connaît les difficultés financières rencontrées par cet établissement hospitalier ?
Même si Brigitte LE BRETHON affirme que les travaux réalisés restent directement au patrimoine du CHU, comment cautionner 836 000 € de travaux de rénovation d’un logement qui correspondent à titre d’exemple à 25 postes d’infirmières ou au prix d’une dizaine d’appartements ?
Afin d’établir la clarté dans cette affaire, j’ai décidé d’écrire au Ministre de la santé pour demander qu’une enquête soit réalisée afin d’établir les responsabilités de chacun.
Espérons simplement que cette affaire ne soit pas la partie immergée d’un iceberg…
Philippe LAILLER
Président du Modem 14
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Bien que ce chiffre puisse surprendre, il peut s’expliquer assez facilement.
La première explication est certainement l’attitude des élus Bas Normands qui ont une grande part de responsabilité dans les résultats de ce sondage.
En effet, depuis quelques mois, qu’ils soient de droite ou de gauche, ils nous font part de leurs vives inquiétudes en mettant en avant toutes les faiblesses de Caen face à Rouen pour s’imposer comme future capitale normande.
Au lieu de parler projets communs avec la Haute Normandie, ils préfèrent lister toutes les pertes d’emplois qu’entraînerait la réunification dans les administrations ou dans les entreprises.
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Mesdames, Messieurs les Conseillers Communautaires,Chers collègues,
Nous serons amenés dans quelques jours à prendre des décisions importantes pour l’avenir de nos collectivités mais également celui des habitants de Caen la mer. En effet, il nous est proposé, pour le budget 2009, d’une part de renoncer à une partie de la Dotation de Solidarité Communautaire et d’autre part, d’instaurer une fiscalité sur les ménages de nos communes.
Dans un contexte économiquement très difficile pour les familles, je ne peux me résoudre à ces solutions ultimes sans rechercher d’autres alternatives qui ne pèseraient pas légitimement sur le pouvoir d’achat de la population.
Aujourd’hui, je souhaite que soient prises en compte, dans l’établissement de l’équilibre du budget 2009, les positions suivantes qui ont pour objectif de réduire les impacts néfastes de la fiscalité additionnelle et de la diminution de la Dotation de Solidarité Communautaire.
La situation actuelle nécessite de faire des choix courageux.
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Monsieur le Député, Monsieur le Sénateur,
Comme nombre d'élus de notre pays du Bessin, nous nous interrogeons sur les conséquences qu'aura la suppression de la taxe professionnelle à l'horizon 2010 pour nos collectivités territoriales, en particulier pour les intercommunalités auxquelles nous appartenons. Aussi espérons-nous que vous pourrez nous éclairer sur les projets de substitution du gouvernement.
Prenons par exemple le cas de Bayeux Intercom. Il y a quelques mois, l'Etat nous a encouragés à mettre en place la Taxe Professionnelle Unique avant le 31 décembre 2008, afin de pouvoir bénéficier de suppléments de dotation intéressants. Le système paraît simple et de bon sens : la part des impôts locaux des particuliers précédemment versée à l'intercommunalité ira à leur commune, tandis que la quote-part versée par les entreprises à la commune financera désormais l'intercommunalité, qui a justement en charge les équipements dont elles ont le plus besoin. Bayeux Intercom a donc fait l'effort de passer à ce nouveau système dans les délais impartis, tout en sachant qu'il comportait une part de risque :
